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L'exposition Empreinte

au pavillon de l'eau

Au Pavillon de l'eau nous avons visité l'exposition "Empreinte" (faisant référence à l'empreinte écologique). Cette exposition met en évidence les progrès et améliorations faits dans plusieurs villes et pays du monde pour préserver la nature comme au Cap Vert (en Afrique), au Bangladesh (en Asie), à Austin (aux États-Unis), à Eva Lanxmeer (aux Pays-Bas), et dans bien d'autres pays. Nous avons pu rencontrer 2 grands contributeurs de cette exposition, Aude Raux qui nous a fait la visite guidée de l'exposition et Guillaume Collange que l'on a rencontré auparavant pour une interview.

Cette exposition fut intéressante et instructive, les photos de l'exposition permettaient d'illustrer les explications d'Aude Raux et attiraient notre regard. Grâce à cette exposition nous avons pu voir différentes solutions pour préserver l'environnement et cela nous a fait prendre conscience que nous aussi nous pouvons, par de simples gestes (comme utiliser des "transports doux"), lutter pour la préservation de la nature et de l'environnement...

L’exposition nous a permis de voir différentes photo prises dans différents endroits du monde par le collectif ARGOS, notamment par Guillaume Collange, le photographe que nous avons rencontré dans le cadre de notre projet AP-MPS et Aude Raux, la journaliste qui nous a guidés durant l’exposition. Celle-ci a participé a des reportages dans 3 pays différents : le Bhoutan, les Émirats Arabes Unis et la France (plus précisément en Île-de-France). Quant à Guillaume Collange, il a pu photographier 7 pays : Le Cap-vert, la Bolivie, Austin (au États-Unis), en Indonésie, au Bangladesh, au Pays-Bas et au Burkina Faso.

Guillaume Collange et Aude Raux font toutes les deux parties du collectif ARGOS dont le but est de sensibilisé sur le réchauffement climatique en prenant des photos dans les pays concernés.

Guillaume Collange

Rencontré dans le cadre du projet AP-MPS

Photographe

Aude Raux

Guide durant l'exposition Empreinte

Rédactrice

Un cas en particulier, sur tous les reportages réalisés, nous a particulièrement intéressé. Dans le Drôme, entre les Alpes et la Provence, paysans, artisans, entrepreneurs, citoyens, et élus tentent un ambitieux projet écologique : créer une vallée dans laquelle le développement économique respecte l'homme et son environnement.

Photo prise par le collectif ARGOS

Association vendant des aliments biologique

Floré-Monts organise des visite pour apprendre l'utilité de certaines plantes

L'agriculture bio est le pilier fondateur du programme Biovallée, plus de 30% des terres agricoles de la vallée sont ainsi cultivées en bio, contre moins de 4% au niveau national. L'objectif, en 2020, est d'atteindre la moitié des surfaces agricoles en bio et de proposer 80% d'aliments biologiques ou locaux dans la restauration collective. Mais largement soutenu jusqu'en 2015, la Biovallée voit aujourd'hui ses aides publique se tarir. Or, avec l'argent qui reflue, les volontés politiques se rétractent. Et certains redoutent la mort d'un projet devenu en quelques années une vitrine nationale du développement durable. Pour autant ils restent les acteurs de terrain, ceux par qui tout à commencé, qui ne changeront ni leurs idéaux ni leur mode de vie.

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