top of page

Les enjeux du changement climatique

         Durant la première moitié de cette année scolaire, notre classe a travaillé sur un projet d'AP-MPS, visant à connaître les causes et les conséquences du changement climatique, ainsi que les solutions pour combattre ce dernier. C'est pourquoi, nous avons effectué un certains nombre d'activités et de sorties qui auront abouti à une simulation de la COP21 le 11 décembre 2015, en parallèle avec la réelle COP21 qui a eu lieu du 30 novembre au 11 décembre. 
         Nous allons retracer date par date toutes les activités qui nous ont permis d'aboutir à ce projet.

            Le 11 septembre, lors de notre première séance de cours en AP-MPS, nos professeurs nous ont présenté notre futur projet. Pour cela ils ont organisé un jeu pour que l'on découvre le sujet, en  présentant des indices sur différents supports (textes, images, graphiques…). Il fallait supposer leur signification et le thème qu'ils évoquaient pour ensuite déduire notre sujet. 
       A la fin du jeu, notre projet annuel nous a été présenté. Puis, une première séquence du film « une vérité qui dérange » a été montrée, où l'ancien vice-président des États-Unis, Al Gore, présente et explique les impacts qu'ont les émissions de gaz à effet de serre sur notre planète. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    

 

Indices lors du jeu de découverte

Ensuite, durant une heure, nous avons étudié et comparé les différentes planètes telluriques de notre système solaire, pour mettre en évidence les paramètres qui influencent sur la température planétaire : la distance au soleil, l'épaisseur de l'atmosphère ainsi que sa composition. Pour cela nous avons établi un protocole à l'aide de documents, puis réalisé une expérience qui consistait à exposer à la lumière d'une lampe, une boite à fond noir successivement avec et sans couvercle, en prenant la température régnant dans la boite toutes les 5 minutes, afin de prouver l'influence d'une atmosphère représentée par le couvercle, sur la température de la planète. 
On a pu conclure que l'atmosphère de la Terre permet de retenir la chaleur. En outre, la composition de celle-ci est unique, elle est, contrairement aux autres atmosphères d'autres planètes, composée de seulement 0,03 % de dioxyde de carbone, et ne retient donc que la chaleur qui nous est suffisante, puisque plus il y a de dioxyde de carbone, plus il fait chaud, c'est l'effet de serre.

Les 4 planètes telluriques
Composition de l'atmosphère terrestre

            Le 18 septembre, nous nous sommes penchés sur l'étude d'un phénomène particulier, l'effet de serre.

 

Ce phénomène se traduit simplement par le fait que le CO2 présent dans l'atmosphère absorbe et retient certains infrarouges émis par la planète ce qui les empêchait alors de repartir dans l'espace ; prouvant alors que la température de notre planète, évolue en fonction de la quantité de CO2 dans l'atmosphère.

 

Sachant que les activités humaines sont résponsable d'une grande partie de ces émissions, cela prouve directement que l'Homme et ses actes impactent sur la température planétaire.

            Les 18 et 25 septembre, nous avons aussi visionné des extraits du film documentaire Une vérité qui dérange de David Guggenheim pour tnter de comprendre les conséquences du changement climatiques sur les sociétés humaines. A partir de nos notes, nous avons réalisé un schéma de synthèse. 

 

Grâce à l'étude de ce documentaire, nous  avons ppris ce qu'était un lobby : un regroupement de personnes défendant les mêmes inétrêts, comme par exemple ici, le lobby pétrolier.


Le lobbyiste a 2 principaux objectifs : convaincre le Grand public à l'aide de la communication et les décideurs grâce au financement et aux arguments politiques. 


 

Dans les années 1980-90, les lobbies climato-sceptiques tentaient de convaincre la population que le changement climatique n'était qu'une théorie. Mais aujourd'hui, la majeur partie de la population a pris conscience des risques et des enjeux du changement climatique. Ces enjeux différenciaient, selon les pays, puisque pour ceux du Nord (= les plus riches), la priorité est de réduire l'impact environnemental alors que pour ceux du Sud, il est indispensable d'améliorer le niveau de vie de leur population sans augmenter leur impact environnemental. Ils mettent donc plus l'accent sur le développement.

Affiche du film et Al Gore au cours de sa démonstration

En TP, nous avons également découvert ce que l'on appelle « le cycle du carbone » c'est à dire les flux de CO2 transférés entre les différents réservoirs de carbone terrestres que sont la lithosphère, la biosphère, l'hydrosphère et l'atmosphère ; ce carbone stocké sous différentes formes et quantités selon son réservoir.

 

Ensuite, le 02 octobre, nous avons effectué la correction du TP n°2 sur le cycle du carbone, nous avons alors pu conclure que sur notre planète, il existait deux puits de carbones capables de prélever du carbone atmosphérique. Ces puits sont les jeunes forêts, qui réalisent la photosynthèse c'est à dire qui absorbe du dioxyde de carbone et rejette du dioxygène. Ainsi que les océans.

 

Nous avons également étudié la différence entre la glace de mer et la glace de terre ainsi que les conséquences qu'elles entraînent lors de leur fonte due au réchauffement climatique.
      La glace de mer est comme son nom l'indique, dans l'eau ! Les icebergs, sont donc des glaces de mer puisqu'ils flottent directement dans l'eau. L'autre type de glace est la glace de terre. Afin de comparer et de constater ce qu'il se passait lors de la fonte de ces deux types de glace sur le niveau de l'eau nous avons réalisé une expérience. Nous avons à moitié remplis deux bécher avec de l'eau.

Puis nous avons, dans l'un, posé un glaçon à même l'eau, et dans l'autre, mis un glaçon dans un entonnoir en veillant à ce qu'il n'y ait aucun contact entre l'eau du bécher et l'entonnoir. On avait donc notre glace de mer et notre glace de terre. Nous avons ensuite tracé un marquage bleu à la limite de l'eau sur les 2 béchers et pris une photo. Après quinze minutes nous avons repris un cliché, et nous avons pu constater que le niveau d'eau sur la représentation de la glace de mer n'avait pas changé mais qu'il avait augmenté pour celle de la glace de terre. Nous avons alors pu en conclure que la fonte des glaces de mer n'influait pas sur le niveau des eaux mais que la fonte de celle de terre, si.

     

La fonte des glaces de terre due au réchauffement climatique, favorise donc la montée des eaux et entraîne de nombreux risques de catastrophes naturelles.

Le 9 octobre, participation à la fête de la science:

             Le 09 octobre, nous avons effectué notre première sortie dans le cadre de notre projet ; il s'agissait de la fête de la science, sur le campus de Jussieu de l'université Pierre et Marie Curie à Paris. 

      La journée c'est divisée en deux temps, tout d'abord la visite des ateliers sur le climat présents sur le campus, puis la présentation de trois machines utilisées par l'université.

            Grâce à ces ateliers, différents impacts, causes et conséquences du changement climatique nous étaient alors expliqués, mais pas seulement, puisque nous avions également l'explication de certains phénomènes naturels.
      C'est ainsi que nous avons pu découvrir le phénomène de condensation avec une expérience très simple : l'animateur faisait monter la pression à l'intérieur d'une bouteille en verre contenant un fond d'eau, lorsqu'il la relâcha, on observa alors à la lumière, des particules en suspension dans l'air, ceci permettant d'expliquer la création des nuages par condensation c'est à dire une pression sur les molécules d'eaux dans l'atmosphère.

 

            Nous avons également pu prendre conscience de l'impact de la fonte des glaces de mer et de terre, sur la montée des eaux ; pour cela, nous avons observé ce qu'il se produisait sur le niveau de l'eau, lorsqu'une glace directement dans l'eau fondait et lorsqu'une fondait elle sur une surface intermédiaire. La conclusion a été vite trouvée, la fonte de glace de mer n’impacte pas sur la montée des eaux alors que celle de la glace de terre elle, augmente le niveau d'eau. 

 

            Le phénomène d'albédo qui nous paraissait très abstrait est devenu très clair suite à cette journée. Il s'agit tout simplement du pouvoir réfléchissant, c'est à dire que les rayons solaires sont plus renvoyés par des surfaces blanches qui retiennent alors moins la chaleur que des surfaces noires. Ce qui permet alors de conclure que la glace renvoie mieux les rayons du soleil, cependant, avec le réchauffement climatique dû aux conséquences du changement climatique, les glaces fondent, empêchant alors cette albédo, et donc réchauffant de plus en plus les océans, ce qui fait alors fondre la glace ; entraînant ainsi un cercle vicieux.

 

 

 

 

Reportage sur la fête de la science à l'UPMC 2015 :
certains d'entre nous se sont invités avec
le journaliste en fin de reportage ;)

  Les courants marins peuvent s'expliquer de manière très concise, cela correspond par le fait que sur toute la planète il existe des courants marins alternants les courants chauds et froids, ce dernier étant plus dense que le chaud il était en dessous, et pouvait se positionner au dessus dans certains endroits de la planète. Ce phénomène naturel influence énormément les températures sur terre ce qui est positif puisqu'il les régule et permet des températures tempérées à la surface de la planète. Cependant, à cause du changement climatique, il y a un dérèglement de ce phénomène, ce qui a pour conséquence d'augmenter très fortement la température en été et de la diminuer de manière importante en hiver, agrandissant alors les extrêmes.

 

            Mais il n'y avait pas que ateliers intellectuels qui présentaient des expériences, il fallait également bouger son corps sur certaines qui étaient plus ludiques, plus simples et divertissantes que de simples expériences toute fois très intéressantes. Comme par exemple les pédalos, qui permettaient de voir combien d'énergie il fallait dépenser pour faire fonctionner une machine à laver, une voiture, un lave-vaisselle etc..  A coté de cette activité plutôt sportives, il y avait un jeu assez interactif, où il fallait qu'on devine à quelle activité correspondait une quantité d'eau utilisée, parmi celles proposées dans un cercle.


            Puis, lors de la seconde partie de la journée, nous avons visité les laboratoires de géosciences de l'Institut des Sciences de la Terre de Paris ; où nous y avons découvert trois machines : un analyseur d'éléments majeurs (permettant d'analyser les éléments présents dans des roches, des plantes, des sols, des eaux…) un analyseur d'éléments de traces (qui sert à identifier les éléments organiques et inorganiques à des échelles extrêmement petites) et enfin un Microscope Électronique à Balayage (technique de microscopie électronique capable de produire des images en haute résolution de la surface d’un échantillon en utilisant le principe des interactions électrons-matière, c'est à dire la description des effets d'un rayonnement sur un atome). 

 

 

 

 

            Le 16 octobre, nous avons effectué la correction du TP n°3 que nous avons fait le 02 octobre ainsi que le bilan de la sortie de la fête de la science du 09 octobre. Au préalable, nos professeurs nous avaient demandés de confectionner des groupes de 3 élèves, afin de choisir 3 mots pour définir la COP21, comme nous l'avions vu lors d'un documentaire visionné le 02 octobre. Nous avons alors groupe par groupe présenté nos mots et les raisons pour lesquelles nous les avons choisis. Suite à cela, nous a été présenté le jeu de rôle de négociation, les objectifs à remplir lors de la simulation de la COP21. 

 

      Nous nous sommes alors divisés en 6 groupes allant de 5 à 6 élèves ; puis les différents pays nous ont été présentés et chaque groupe a choisi un pays parmi : les États-Unis, l'Union Européenne, le Japon (représentant le reste des pays développés), la Chine, l'Inde, et les Maldives (lequel représente les pays en développement). Ensuite, des documents ressources nous ont été distribués et nos professeurs ont donné leurs directives et le prochain travail que nous avions à effectuer pour le 20 octobre, c'est à dire, des recherches sur le pays que l'on représente, sur les quantités de gaz à effet de serre qu'il rejette, sur ses futurs engagements, sur ses attentes… 


      Suite à cela, nos professeurs nous ont proposé un jeu interactif entre chaque délégation pour confirmer nos connaissances et nos acquis. Le but était très simple, il fallait répondre à une question soit posée par les professeurs et le groupe le plus rapide pouvait répondre, soit posée par un groupe à un autre qui avait alors 1 à 2 min de réflexion pour y répondre. S'il n'y arrivait pas, le groupe perdait 3 points et un autre pouvait tenter de répondre à la question. Si il y parvenait il gagnait 3 points ; si, aucun groupe n'y arrivait, la délégation ayant posé la question gagnait 3 points. Ce jeu nous a permis de vérifier nos points forts et faibles de façon décontractante.

            Le 6 novembre, nous avons effectué une sortie pédagogique à la Cité des Sciences et de l'Industrie à la Villette. Chaque groupe était chargé de rédiger une lettre d'information sur la sortie.

 

Lien vers une lettre d'information sur la sortie

            Le 13 novembre, nous sommes allés au cinéma visionner le film « La glace et le ciel ». Ce film de Luc Jacquet, nous raconte l'histoire d'un glaciologue reconnu : Claude LORIUS.

 

Il retrace sa vie et son travail, et apporte une réflexion sur l'environnement et le rôle des hommes dans les bouleversements climatiques. Il affirme avec des conclusions scientifiques, tirées des travaux de ses équipes, que le bouleversement climatique est « indiscutablement dû à l'homme ».

 

Le rejet de gaz carbonique dont l'homme est responsable contribue à augmenter la température moyenne du globe, toutes les régions étant touchées sans exception. Cela entraîne des cataclysmes de plus en plus dévastateurs. 

Simulation de la COP21:

            Le 20 novembre, chaque groupe a présenté à l'oral sa délégation. En faisant, tout d'abord une présentation générale du pays (le nombre d'habitants, le PIB, la superficie…), puis l'opinion publique, afin d'avoir l'avis de la population sur le changement climatique. En outre, les conséquences du changement climatique sur l'espace choisi et les variations des émissions de gaz à effet de serre depuis 1930, en précisant les pics d'augmentation et de diminution et si possible, en dire les causes. Enfin, nos objectifs et nos attentes vis à vis des autres délégations, tout ceci sera alors repris plus ou moins dans les discours de présentation des délégations lors de la simulation de la COP21. 


      Ensuite, nos professeurs ont demandé d'attribuer à chaque membre du groupe, un rôle parmi les suivants, le chef de délégation, le scientifique, le lobby industriel, le lobby pétrolier, l'écologiste, et enfin, le représentant des citoyens. Chaque rôle devra défendre ses intérêts lors de la simulation de la COP21 et a donc dû, pour cela, travailler avec les documents fournis par nos professeurs, sur les arguments et les causes qu'il devra mettre en avant pour pouvoir avoir du poids et plus d'impact lors des débats. Excepté le chef de délégation qui a rédigé la fiche de sa délégation avec les notes des autres membres.

 

            Le 30 novembre, lors de l'AP de français, nous avons commencé à écrire le discours que nous allions présenter le 11 décembre lors de la simulation de la COP21. Ce discours se devait d'être accrocheur, avec de très nombreux procédés stylistiques. Il devait faire ressortir tout notre travail acharné, tout ce que nous avions entrepris depuis le début de cette année scolaire. Nous nous devions de le faire le plus méticuleusement possible, écrit dans le meilleur français possible pour qu'on soit capable de penser que ça soit un réel discours d'homme politique qui défend ses valeurs, son pays, sa délégation, sa planète.

 

            Le 04 décembre, nous avons avec l'aide de nos professeurs, préparé notre simulation des négociations de la COP21. Pour se faire, nous avons d'abord collecté un certain nombre d'informations que nous allons mettre en valeur dans notre discours. Comme nous allions également présenter plus ou moins une stratégie lors de notre discours, nous avons également dû analyser les points forts et faibles des autres délégations, afin de pouvoir présenter nos engagements et nos conditions. Nous avons alors, en nous aidant des conseils fournis par nos professeurs, commencer à rédiger ces engagements et à préparer minutieusement notre discours.

 

            Le 07 décembre, durant l'AP français, nous avons finalisé notre discours en y apportant plus de détails et nous nous sommes entraînés à le prononcer.

           Le 11 décembre, nous avons effectué la simulation de la COP21 aboutissement de 4 mois de dur labeur.  La journée débuta sur un rappel des objectifs de cette mise en situation, puis se poursuivit sur la lecture des discours de présentation des délégations, fixant alors les engagements et les conditions imposés et fixés par chacune.

Discours de l'Europe
Discours du Japon
Discours des Maldives
Discours des Etats-Unis

Discours de la Chine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

           Suite à la lecture des discours, la journée s'est poursuivie sur trois tours de débat entre les délégations, dans lesquels, chacune défendait ses propres intérêts tout en essayant de remplir les objectifs fixés, c'est à dire la fixation de l'augmentation de la température pour 2100 à 2° Celsius, ainsi que les 100 milliards de dollars de cotisation annuelle pour la mise en œuvre des projets et des aides à partir de 2020.


            Entre chaque tour était effectué une constatation et un bilan sur l'évolution des courbes des objectifs ; cela permettait alors à chaque groupe, de  remettre en cause ses conditions pour effectuer des concessions afin de les remplir. Pour cela, nous étions concentrés sur le taux de réduction des émissions de gaz à effet de serre, en précisant l'année de début de leur réduction et de stabilisation que nous nous étions nous même imposé ; ainsi que sur le taux de réduction de la déforestation et l'augmentation de la reforestation et de la préservation  de la biodiversité. Nous devions également déterminer judicieusement et en demandant des contre parties à qui et combien chaque groupe allé donner de l'argent tout en pensant aux 100 milliards.


            Cette journée s'est alors achevée, sur un bilan certes positif, mais qui cependant laisse une pointe d’amertume, puisque l'objectif des 100 milliards a bien été atteint, ainsi qu'un autre, moins mis en valeur, celui sur la stabilisation du taux d'acidité présent dans les océans pour 2100 ; mais celui des 2°C n'a malheureusement pas pu être rempli puisque nous n'avons pu atteindre que les 2,4°C malgré nos efforts ce qui reste insuffisant. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 18 décembre, nos professeurs ont repassé certains discours des délégations qu'ils avaient au préalable filmés durant la simulation de la COP21 afin de nous expliquer les points forts et faibles de chacun, ainsi que les éléments capitaux à retenir pour une prochaine expression orale, comme par exemple le fait de se détacher de ses notes, d'effectuer des pauses, de faire attention au ton.

 

Nous avons également pris connaissance du bilan de la véritable COP21 ; l'objectif des 2° Celsius serait donc atteint et l'objectif supplémentaire envisagé est l'atteinte de 1,5° Celsius. Les 2° n'est pas le seul objectif à avoir été atteint puisque celui des 100 milliards d'euros a également été rempli. Pour l'instant, les négociations sont encore en cours, et les délégations ont jusqu'à 2018 pour se mettre en accord sur les mesures à effectuer. 

 

      Enfin, nos professeurs nous ont présentés la suite des événements à venir, des prochains projets à mettre en place et à aboutir. Pour la suite donc, nous allons voir, comment agir à notre échelle. C'est à dire, les moyens que nous pouvons mettre en œuvre aussi bien dans notre lycée, dans notre ville, qu'en Île-de-France, pour ensuite les présenter lors d'un rassemblement avec d'autres lycées d’Île-de-France à Paris.

 

     Afin de construire et de présenter notre projet, nous allons effectuer un certain nombre d'activité. La première nous a été donnée à faire pour le 15 janvier 2016. Il s'agit d'effectuer une carte d'identité de notre commune et de notre lycée. Pour se faire, nos professeurs nous ont demandé de nous diviser en 12 groupes qui auront chacun un travail à effectuer à l'aide de documents fournis par les professeurs.

bottom of page